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Arrivée sur les lieux. La Maroquinerie et ses coulisses où les Tahiti 80 se détendent avant le concert de ce soir. Heureux de présenter leur nouvel album Fosbury, ils nous expliquent le processus de création de l'album et nous mettent en appétit avant un live qui s'annonce triomphal. Rencontre avec Médéric puis Xavier et Pedro.

La première surprise de votre nouvel album Fosbury, c'est ce tournant qui nous plonge immédiatement dans la musique soul black ?
Le premier morceau de Fosbury : Big day symbolise bien la musique black, un peu funky, seventies et qui fait un peu figure de pré-disco. Pour Changes, on est parti vers le R&B, c'est plus contemporain et correspond à la musique black d'aujourd'hui. C'est en quelque sorte un revival et des groupes comme Nerd ont montré la voie.

Avant de concevoir Fosbury, vous aviez déjà cette envie de flirter avec cette musique ?
Nous sommes de gros consommateurs de musique et au bout d'un moment nous avons commencé à écouter pas mal de musique black : soul, reggae, musique africaine. Ca fait longtemps que l'on avait envie d'en jouer et déjà sur notre premier album Puzzle il y avait un morceau très dansant (Heartbeat) tout comme sur notre second qui avait aussi des références diverses, au hip hop notamment.

Aviez-vous quelque chose en tête avant de rentrer dans la composition des titres de Fosbury ?

Nous voulions qu'il soit plus brut, plus live. Beaucoup de morceaux ont été écrits pendant l'enregistrement et on voulait garder un maximum de premières prises. Sur la chanson Changes, on l'observe avec le beat très en avant, très brut, presque martial.

Pour Fosbury, on a cassé la routine et on a bossé chacun de son côté en s'envoyant des fichiers. Il y a beaucoup de spontanéité, d'improvisations mais à l'arrivée ça reste cohérent. C'est notre album le plus instinctif.

Tahiti 80 utilise l'électro et les boucles. Comment allez-vous les incorporer dans le spectacle ? Quelle sera la formule live Tahiti 80 ?

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